Les études sur certaines espèces d'oiseaux, réalisées par la LPO pour l'Onerc (Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique en France métropolitaine et dans les départements et territoires d'outre-mer), soulignent les signes d'adaptation de ces espèces à ces nouveaux facteurs climatiques.

Oies cendrées - crédit photo : Philippe JourdeOies cendrées - crédit photo : Philippe JourdeDepuis 2007, la LPO fourni à l'ONERC, l'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique, un jeu d'espèces-indicatrices du changement climatique. Certains oiseaux réagissent négativement à la hausse des températures, d'autres positivement. Pour d'autres encore, nous n'avons pas assez d'éléments pour appréhender leur adaptation à ces changements globaux.
À partir d'effectifs nationaux ou régionaux et sur une année, cet indicateur présente l'évolution des populations des espèces françaises d'oiseaux les plus susceptibles de réagir positivement ou négativement aux changements climatiques en cours.

Découvrez comment semble réagir l'oie cendrée, le fuligule milouinan, les macreuses noires et brunes, l'eider à duvet, le garrot à œil, la cigogne blanche et toute la guilde des oiseaux à affinités septentrionales.