La LPO est alors associée à la Fédération Française d'Ornithologie (canariculteurs et éleveurs d'oiseaux de cage) par le biais de son président, Marcel Cioutat, qui devient vice-président de la LPO.
La devise de la LPO devient : "Protégez l'oiseau libre, élevez le canari" et son sigle un merle sur son nid, qui rappelle le graphisme du lait en poudre Nestlé.
La LPO, qui compte alors 300 membres, possède un bureau de 2 pièces 129 Bd St Germain avec une secrétaire à plein temps (Odile Blanchet) et un garde pour les Sept-Iles (un marin-pêcheur, Lucien Le Dret, qui reçoit une petite indemnité). Elle est présidée par Jean Delacour, avec comme présidents-adjoints Paul Murat puis le colonel Philippe Milon.