FNE, Humanité & Biodiversité et la LPO ont saisi le 2 septembre le Conseil d’État concernant d’une part les dispositions autorisant la destruction du loup et d’autre part le plafond maximal fixant le nombre de loups pouvant être détruits à 36.
La réglementation européenne et nationale permettent de déroger à la stricte protection du loup sous certaines conditions. Nos associations estiment que les dispositions mises en place par le gouvernement contreviennent en plusieurs points à ces conditions. C’est pourquoi elles ont saisi le Conseil d’État.
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