FNE, Humanité & Biodiversité et la LPO ont saisi le 2 septembre le Conseil d’État concernant d’une part les dispositions autorisant la destruction du loup et d’autre part le plafond maximal fixant le nombre de loups pouvant être détruits à 36.

Loup - Crédit photo : Charles MetzLoup - Crédit photo : Charles Metz

La réglementation européenne et nationale permettent de déroger à la stricte protection du loup sous certaines conditions. Nos associations estiment que les dispositions mises en place par le gouvernement contreviennent en plusieurs points à ces conditions. C’est pourquoi elles ont saisi le Conseil d’État.

Plus d'informations

Consultez le communiqué de presse

Consultez notre article précédent : Avec la demande de déclassement du loup, le gouvernement berne les éleveurs